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Jeudi 19 Août 2010, 15h56 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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Hello I feelt like Making this forum so Hello all |
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M. Darrell Lee TONIK53, Arthon-en-Retz |
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Samedi 21 Août 2010, 08h09 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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hallo
hier einige projekte
http://my.opera.com/SoerenH/blog/20 10/08/11/sichere-anlagen-festgeld-tagesgeld-und-co
http://de.wikipedia.org/wiki/Girokonto
liebe gruesse |
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M. Wertpapierdepot GIROKONTO, Arthon-en-Retz |
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Dimanche 19 Septembre 2010, 09h55 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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A bas l'anti-Bretagne |
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M. Jm AVRIL, Saint-Brévin-les-Pins |
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Mardi 28 Septembre 2010, 15h24 |
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Fierement Gaulois armoricain et namnete.
A une époque de paix et de prospérité, les invasions les guerres ont cessés. L'acces au savoir, la liberté de pensée sont véritables. Les Francs les romains les bretons ne nous mènent plus, c'est la république, ou l''appartenance a lidée bretonne; "bretons de coeur " soit!! Je choisi gaulois, honneur et reconnaissance a mes veritables et plus nombreux ancestres. Que vive l'esprit gaulois!!!!! Telle est la jeunesse d'aujourd'hui!! |
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M. Palvadeau M, Arthon-en-Retz |
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Mardi 28 Septembre 2010, 22h22 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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c vrai que votre expression et vos idees sonnent tres jeune lol
diantre !
festoyons prestement gaulois ! |
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M. Hein ? ETLAMARMOTTE ?, Arthon-en-Retz |
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Mercredi 09 Octobre 2013, 13h30 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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Saint-Brevin, officiellement St Brevin-les-Pins, est la commune littorale la plus au nord du Pays de Retz et fait face à Saint-Nazaire dans l’estuaire de la Loire.
Jusqu’en 1789, Mindin (Partie Nord de Saint Brevin) était une paroisse de Saint-Nazaire.
Le Saint Brévin historique : Archevêque de Cantorbéry
La légende dit que Saint Brevin accosta sur la plage de l’actuel St brevin les pins .
Mais qui était Saint Brevin ?
Saint Brevin fut archevêque de Cantorbéry avant d'être canonisé après sa mort en 764.
L' Archevêque de Cantorbéry (Archbishop of Canterbury) est, après le Gouverneur suprême de l'Église d'Angleterre (c'est-à-dire le monarque), le chef de l'Église d'Angleterre et de la Communion anglicane. Il est le successeur de saint Augustin de Cantorbéry, le premier archevêque de 597 à 605.
Il semble peu probable qu’un tel personnage accosta et s’établit dans l’actuel Saint-Brévin, il y a donc deux hypothèses
Une hypothèse romantique : Bretowennus, disciple de Paul Aurélien
La piste bien fragile de Bretowennus part du toponyme Paimboeuf, Pen-Bo en moyen breton, Pen ochen en vieux breton.
Or dans la vie de Saint Paul Aurélien il est dit qu’il est né à Pen-Ochen dans le Glamorgan et qu’un de ses disciples se nommait Bretowennus.
Réévangélisation par des moines de Cantorbéry au 9eme siècle
Un prieuré avait été édifié au sud de l'estuaire après la christianisation due à saint Martin de Vertou au 5e siècle. Après le passage des Vikings l'Église a procédé à une « réévangélisation » menée par des moines de Cantorbéry au 9e siècle. Un prieuré dédié à Bregwyn est bâti. La graphie évolue en Brewing, Breguwine, Breguvin, Brevein, Brevain, Breven puis Brevin
(Bregowine en anglais)
Saint Brevin en Bretagne
St Brevin est fêté le 25 août au calendrier des saints bretons et est honoré à St Brevin-les-Pins et à Berné (Morbihan).
L'église paroissiale de Saint Brévin les Pins
Photo reflexioncatho.canalblog.com
De style Roman, elle fut largement rénovée au 17ème siècle, et restaurée au début du 20ème siècle
sources: Karikell, le fourre-tout breton du pays Nazairien
(et du Pays Nantais ...) |
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M. Jm AVRIL, Saint-Brévin-les-Pins |
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Mercredi 26 Février 2014, 14h25 |
Re: Le Pays de retz va t il rester breton ?
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Joseph Rousse Poète breton en Pays de Retz (3)
19 Juillet 2009
"Il est républicain catholique et breton séparatiste ; il voudrait voir la croix du Christ dominer l'échafaudage républicain de notre époque et la bannière de Bretagne marcher libre à coté du drapeau français."
Dominique Caillé Revue de Bretagne et Vendée (1890)
1844 Joseph Rousse n'a que 6 ans lorsque son compatriote Pitre-Chevalier, de Paimboeuf, publie sa Bretagne ancienne dont la conclusion sera considérée par les indépendantistes de la première moitié du XXe siècle comme un texte pionnier :
"Après avoir résisté de toutes ses forces à la France pendant onze siècles, elle lui prodigue depuis trois autres siècles son sang, son or, ses produits et ses enfants … La Monarchie, la République, l'Empire, la Restauration et le gouvernement actuel n'ont rendu à la Bretagne que l'indifférence et l'oubli en retour de sa nationalité, de ses privilèges et de ses franchises … La France, en adoptant la Bretagne, a contracté des engagements qu'elle n'a pas remplis. Bien loin de la traiter en mère, elle l'a traitée en marâtre … "
Dans la conclusion moins virulente de l'édition de 1859, Pitre Chevalier établit la liste des bretons méritants du XIXe siècles, on y trouve Brizeux maître en poésie de Joseph Rousse et l'ancien député de Paimboeuf, l'amiral Leray.
Seul parmi les précurseurs de la cause bretonne, Pitre-Chevalier obtient grâce auprès du militant indépendantiste Olier Mordrel . Le doux poète Brizeux n'est pour lui que l'auteur d'une Mireille au rabais, sa Marie que Rousse admirait tant et qu'il voulait mettre dans la main du poète sur la statue qu'il voulait lui voir élevée sur une place de Nantes !
Mordrel, qui ne voyait en la plupart des hommes de lettres se réclamant de la matière celtique des Nostalgiques (seul Hersart de la Villemarqué échappe à ce jugement et mérite à ses yeux le qualificatif de Réveilleur) ignore Joseph Rousse qui côtoie pourtant l'auteur du Barzaz Breizh sans les salons de Madame Riom boulevard Delorme. Nantes est alors le lieu d'un fort mouvement intellectuel de renaissance bretonne d'où la langue n'est pas absente puisque Rousse semble t-il, entreprend de l'apprendre.
Dès son premier recueil de poésie Au Pays de Retz (1867), Joseph Rousse dans La chapelle Saint Gildas, fait rimer Pays de Retz et monts d'Arrée :
…/…
Les Français, ô Bretons ! nous appelaient barbares.
Brizeux, les connaissant, leur a rendu ce nom.
Il avait vu chez eux que les grands cœurs sont rares,
Et que l'intrigue et l'or seuls donnent le renon.
Dans les champs de Kerné résonnent les bombardes ;
J'entends la harpe antique, aux montagnes d'Arez ;
Le son d'un cor d'ivoire a réveillé les bardes.
Depuis l'île de Sein jusqu'au pays de Retz.
…/…
L'inspiration bretonne et le regret inavoué de ne pouvoir vivre dans une Bretagne libre ne quittera jamais son œuvre poétique (Poèmes italiens et bretons 1869, Chants d'un celte 1886, Poésies bretonnes 1882)
Son œuvre posthume Les Germanbrées (1912) en témoigne sur un ton moins nostalgique et plein d'espérance.
Ainsi la chanson On dit que la vieille Bretagne … dédiée à sa fille (le chanoine Abel Soreau de Saint Stanislas où Rousse avait fait ses études mettra le texte en musique) :
On dit que la vieille Bretagne
S'éteint et va bientôt mourir ;
Pourtant j'ai vu dans la campagne
La bruyère et l'ajonc fleurir.
La jeunesse est joyeuse et forte ;
Le blé noir couvre les sillons.
Non, la Bretagne n'est pas morte,
Non, nous ne sommes pas les derniers des Bretons !
…/…
Plus encore, sa Plainte des bretons a des accents de révolte qui sonne comme la malédiction rouge aux francs du An Alac'h du Barzaz Breizh :
Jadis la Bretagne était fière ;
Son drapeau flottait respecté,
Sur la mer bleue et sur la terre,
Au soleil de la liberté.
Pour la richesse et la puissance,
Ses ducs marchaient égaux des rois.
Maudit soit le jour où la France
Soumit la Bretagne à ses lois |
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M. Jm AVRIL, Saint-Brévin-les-Pins |
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